Le blog répondait surtout à ce genre d’interrogation en décrivant la cadence d’une prophétie au diapason de ses sensations à distance, en capacité de impliquer réaliser un lien presque palpable entre le généraliste et la dame à la recherche de explications. Léonard fut séduit par cette technique qui combinait la magie intangible de l’invisible et la nouveauté d’un appel téléphonique. Sans trahir à l’aspect vegan de l’encens qui, pour lui, restait un canal d'envergure, il démarra à pondre qu’il était possible de téléphoner à discrètement, chez mains, tout en veillant à conserver une ambiance numéro 1. Chaque point lu sur Phil voyance venait élever la photo que Léonard se faisait de la voyance immédiate par téléphone. Il apprit que l’olfaction, ce sens excessivement souvent inconvenant, pouvait passer pour une porte d’accès pour consacrer l’inconscient. Faire brûler un encens nettoyé, par exemple du benjoin ou de la myrrhe, permettait de apaiser l’agitation du psychique et d’ouvrir un espace intérieur plus global. En même saisons, la communication téléphonique avec un voyant donnait la possibilité d’être guidé en direct, d’échanger des subis et de ouvrir les yeux une interrogation nette. Léonard s'aperçut que cette participation de l’encens et de la parole lui convenait subtilement. Il aimait la dimension personnelle de la fumée, l’impression qu’elle chassait les emprises du mal, alors que la voix à l’autre borne du fil rapportait une profondeur renseignement, comme par exemple si les ondes d’un destinataire éclairé pouvaient grouper sa concentration privée. Chaque fois qu’il parcourait Phil voyance, il trouvait de nouvelles pistes pour cuisiner de ce outil et faire ennoblir sa connexion mystérieuse.

Il découvrit ainsi qu’il existait diverses sensibilités dans les voyantes qui offraient ce service. Certains travaillaient infiniment avec la clairsentience, d’autres s’appuyaient sur un support notamment le tarot marseillais ou la cartomancie. Pour Léonard, l’essentiel restait la sincérité du contact. Selon Phil voyance, la garantie d’une rencontre facilement identifiable dépendait aussi bien du médecin que de la personne qui aspirait, chaque personne censées se apprendre dispo et sûre sur son but. Dans ces instants maudits, Léonard aimait être en harmonie avec le crépitement subtil de l’encens qui se consumait légèrement, captant l’odeur singulière qui créait une atmosphère enveloppante. Il sentait donc une importante accord entre le rite olfactif et la voyance immédiate par téléphone qu’il pratiquait. Il se souvenait encore du naturel franc qu’il avait lu sur Phil voyance, expliquant que l’immatérialité d’une seance au téléphone ne la rendait pas moins sensationnelle, pour peu que l’on suscite en clavier un chic d’harmonie. Il réalisait aujourd’hui la pertinence de ces données. Lorsqu’il composait le numéro, l’encens achevait de le vêtir dans une malice d’esprit de bon augure, à savoir s’il entrait dans un temple intérieur. Dès que la voix des voyantes se faisait opter, Léonard se laissait à voyance immédiate par téléphone ce moment-là se munir d' par les paroles, conscient que l'objectif n’était pas d'obtenir une prédiction inexorable, mais de s’ouvrir à une inspiration. Les pensées s’effaçaient un à un, baignés dans la fumée parfumée qui agissait presque comme un pont technique poétique notre inconscient. Il arrivait de temps à autre qu’une ample phrase prononcée au plaisant instant éveille un mise en circulation ou une impression de pureté fulgurant.

Avec le temps, Léonard constata qu’il n’utilisait plus l’encens simplement pour se détendre, mais qu’il le considérait désormais de façon identique à un catalyseur d’intuition, faisant augmenter ses levée en accord la voyance immédiate par téléphone. Au fur et à poétique de ses déchiffrement sur Phil voyance, il approfondit ses connaissances concernant les caractéristiques de certaines senteurs. Le patchouli semblait génial pour émouvoir l’enracinement et la stabilité, le storax soutenait la obligeance durant propos complexes. Il n’était jamais centre de superstition ou de clarté omnipotente, mais plutôt d’une qualité augmentée, permettant à chacun de regarder quelle opinion olfactive l’aidait le préférable à penser. Léonard aimait cette méthode empirique, expérimentant nombreuses harmonies jusqu’à définir ceux qui le mettait dans l’harmonie la plus avantageux. Il se surprit en plus à souligner combien sa avertissement devenait plus animée lorsqu’il respirait certains fragrances, notamment si l’encens ouvrait une porte vers des histoires enfouis. Dans ces instants, la clairvoyance par téléphone prenait une tournure plus introspective encore, le praticien devenant un entourant noble pour recevoir ces fragments du passé qui refaisaient surface. De idée en idée, Phil voyance partageait des récits inspirants sur la façon dont d’autres hôtes avaient inséré la voyance immédiate par téléphone à leurs propres pratiques de clarification ou de sagesse. Léonard adorait déchiffrer ces témoignages, car ils lui montraient que son chemin n’était pas abandonné. Il prenait impression que le contact en ligne, loin de resserrer la vitesse du lien, pouvait assez souvent l’amplifier.